C’est dans le haut lieu de la culture qui abrite le fameux palais de l’Alhambra, que se trouve le musée de la mémoire andalouse. A première vue, une immense lame en béton et de couleur blanche définit l’entrée. Les trois étages qui constituent le musée tournent en orbite autour d’une impressionnante rampe qui crée une dynamique au cœur même de l’ensemble. Le résultat une construction imposante où font ménage la créativité et la simplicité…Pour plus de photos et d’informations, voir : ici.
Le site des architectes: ici.
La photo : © Javier Callejas
4 commentaires:
Comme tu le dis si bien, ce bâtiment allie créativité et simplicité, ce qui le rend beau à mes yeux. Autant j'aime les détails dans les vieilles pierres, autant j'ai la simplicité dans le cintemporain. Je suis tout en paradoxe.
Ça montre qu'on est quelque part toutes sensibles à la beauté :)
J'aime Beaucoup Campo Beza... et la rampe est un sympathique clin d'oeil a l'architecture historique locale. Par contre je ne suis pas sur d'avoir compris : le côté aveugle du bâtiment "vertical" doit accueillir des publicités géantes façon Picadilly ?
C'est une question sur laquelle j'ai bloqué un moment : l'intégrité d'une architecture très "pure" peut-elle supporter l'ornementation ou le décor ? Ben la réponse est oui, mais elle ne parait pas si évidente que ça. C'est dans Nemausus que Nouvel avait au départ interdit aux habitants de coller du papier peint sur les murs de bétons de leurs appartements, parce qu'ils faisaient partie intégrante de l'architecture du bâtiment... Les locataires n'ont pas respecté se voeux pieux et ils ont eu raison. Ce n'était sans doute pas une bonne idée.
Non, pas façon Picadilly, pas à ce point là mais selon eux ce sera une manière comme une autre de présenter la publicité. Je suis d'accord pour dire que la pureté de l'architecture devrait être conservée mais aujourd'hui ça devient très rare, l'architecture est aussi vue pour son côté fonctionnel pas que monumental :)
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