On se trouve à 20 Rue de Thorigny, Paris devant la galerie de Laure Roynette. Une galerie d’art, deux vitrines vides et quelques néons de couleurs rose et bleu. Des écritures, en anglais, qui lancent le ton et racontent l’histoire avant l’histoire. Un conte? Non, il s’agit de l’art contemporain dans toute son abstraction et toute sa splendeur.
L’artiste est là pour expliquer, développer et faire visiter sa dernière exposition parisienne intitulée : « Ruins of Now ». Dans cet espace immaculé, des ruines tout aussi étincelantes, des colonnes argentées et morcelées sous formes de bouteilles de Coca-Cola, qui représentent l’univers dans lequel nous fait plonger l’artiste. Toute une métaphore. Une immersion immédiate dans sa pensée, ses différents points de vue et sa manière de voir les choses. Quelques clins d’œil à son enfance et à d’autres artistes qui ont influencé son parcours viennent agrémenter ces quelques œuvres dispersées.
Au fur et à mesure qu’on avance dans cette visite qui détaille différentes maquettes, nous nous confrontons à des objets iconiques que l’artiste a choisi comme une base pour son travail.
Arnaud Cohen fait partie de ces artistes qui refusent de créer, ses travaux représentant des fragments qu’on trouve toujours dans la vie quotidienne et qui lui servent de messages. Des morceaux modifiés, parfois même convertis qui portent malgré tout son unique signature. Ses œuvres parlent de notre société actuelle tout en faisant des clins d’œil à l’Allemagne des années 30 ou la France des années 70, deux époques fortes et à la fois représentatives.
Enfin, Arnaud Cohen sait brillamment via ses œuvres fixer les lumières sur une réalité vue, vécue et sentie mais
constamment négligée…
Pour mieux comprendre le travail de l’artiste, lire la critique suivante.
L’artiste est là pour expliquer, développer et faire visiter sa dernière exposition parisienne intitulée : « Ruins of Now ». Dans cet espace immaculé, des ruines tout aussi étincelantes, des colonnes argentées et morcelées sous formes de bouteilles de Coca-Cola, qui représentent l’univers dans lequel nous fait plonger l’artiste. Toute une métaphore. Une immersion immédiate dans sa pensée, ses différents points de vue et sa manière de voir les choses. Quelques clins d’œil à son enfance et à d’autres artistes qui ont influencé son parcours viennent agrémenter ces quelques œuvres dispersées.
Au fur et à mesure qu’on avance dans cette visite qui détaille différentes maquettes, nous nous confrontons à des objets iconiques que l’artiste a choisi comme une base pour son travail.
Arnaud Cohen fait partie de ces artistes qui refusent de créer, ses travaux représentant des fragments qu’on trouve toujours dans la vie quotidienne et qui lui servent de messages. Des morceaux modifiés, parfois même convertis qui portent malgré tout son unique signature. Ses œuvres parlent de notre société actuelle tout en faisant des clins d’œil à l’Allemagne des années 30 ou la France des années 70, deux époques fortes et à la fois représentatives.
Enfin, Arnaud Cohen sait brillamment via ses œuvres fixer les lumières sur une réalité vue, vécue et sentie mais
constamment négligée…
Pour mieux comprendre le travail de l’artiste, lire la critique suivante.
2 commentaires:
Si j'ai bien compris, l'œuvre de cet artiste est purement conceptuelle, mais se situe aux antipodes de celle d'un Jeff Koons.
Le message de sa chèvre perchée sur une bouteille de coca tronçonnée en deux me semble clair :
Le coca c'est mauvais pour la santé, buvez du lait (sous-entendu le coca c'est artificiel, le lait c'est naturel)...
Tilie, non, l'artiste donne complètement une autre explication à cette œuvre, toujours aussi conceptuelle d'ailleurs, ce sont les ruines de notre société de consommation et la chèvre c'est l'image de la chèvre de son enfance qui arpentait les ruines archéologiques.
Pour plus d'informations sur ses œuvres, deux solutions, ou bien aller visiter l'expo ou bien lire les quelques critiques d'art dont celui-là (qui expliquent vraiment chaque "tableau" de ses œuvres).
http://ilinferno.com/2012/01/03/arnaud-cohen-ruins-of-now/
D'ailleurs je la rajoute au texte.
Enregistrer un commentaire