Pour y accéder, plusieurs moyens, à part la voiture, le village est desservi par le train qui le lie directement à la ville de Londres, ainsi que plusieurs lignes de bus. A l’intérieur de l’écoquartier, les espaces sont aménagés pour un parcours aisé que l’habitant utilise en vélo.
Quelques endroits bucoliques se trouvent dans les environs, la nature a une très grande présence, des espaces entiers sont laissés à l’état, le tout pour le plaisir des pupilles de ses visiteurs.
De loin, l’ensemble ressemble à un petit village qui suscite l’intérêt. On distingue quelques couleurs sur les toits, on repère une présence accrue de végétation, on devine certains matériaux utilisés pour les façades. Des détails que n’importe quel curieux d’architecture aimerait bien contempler de près.
Parlons autosuffisance énergétique, ce quartier est conçu pour montrer l’exemple, d’ailleurs suite à sa construction, d’autres villes européennes n’ont pas manqué de le suivre. Aujourd’hui avec le recul, le résultat énergétique des huit années passées est satisfaisant. Les différents acteurs écologiques ont trouvé leur réponse dans ce genre d’habitat qui en principe n’était qu’une manifestation pour montrer que l’architecture est aussi capable de fonctionner sans détériorer l’environnement.
Quelques images d’une récente visite dans un monde à part pas loin des frontières de la ville…
D’autres images se trouvent sur ma galerie publique : ici.Texte et photos: © Sipane Hoh
2 commentaires:
Comme tu le dis si bien, ça donne envie d'aller voir de plus près... Eco-quartier ou pas, les briques rouges demeurent pour rappeler l'histoire des lieux.
C'est vrai, la brique rouge est très présente dans les villages alentours sans parler des grandes villes anglaises. Et c'est l'une des particularité de cet écoquartier, l'utilisation des matériaux qui existent dans le coin.
Ça te plairait, surtout les environs, des endroits "secrets" comme tu aimes bien dénicher.
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