11 sept. 2008

Invisibles...

Invisibles sont les quelques équipements publics qui constituent une ville, insensibles sont les usagers qui les utilisent d’une manière régulière et quotidienne sans vraiment les regarder. Pressés sont les gens qui les croisent ou qui s’y attardent un instant sans prendre le temps de les contempler. Pourtant ils existent, ces équipements qui ornent la ville. Une ville qui a besoin de quartiers entiers et de moyens de transports pour exister. Une ville entière qui respire et vit avec ses immeubles, ses bâtiments publics et privés, ses jardins, ses fontaines, ses places jusqu’à ses mobiliers urbains. Il nous reste ces petits détails désagréables pour les uns, utiles pour les autres. Des détails présents dans la ville, qui contribuent à son bon fonctionnement et qui nous poussent à regarder autrement cette même ville…


Pour celà, je vous invite à aller faire un tour sur cet article que j’ai lu récemment et qui parle très bien de ces détails oubliés pourtant si présents.

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Très intéressant billet en effet. Et très intéressant blog que je ne connaissait pas... Je ne pense jamais a consulter les liens à droite :-p

Sipane a dit…

C'est pourquoi je mets ces mêmes liens dans les billets.
(Un peu comme tu fais toi aussi:-))

Anonyme a dit…

Très bonne idée!
Des questions qu'on ne se pose pas souvent, content de constater que certains le font.

Sipane a dit…

"On ne se pose pas" ou bien on ne prend pas le temps de les poser et chercher les différentes réponses quand elles existent.

Anonyme a dit…

Merci pour le lien ! La première partie de cet article est une rêverie qui date d'une balade il y a longtemps, quand j'étais étudiant. La seconde partie résulte en partie de ma lecture (actuelle) d'Edgar Morin...

Sipane a dit…

C'est un sujet intéressant, qui concerne tout le monde et en même temps assez vaste. J'essayerai d'y revenir plus tard peut être avec d'autres exemples et plus de détails.Il mérite plus qu'un article, d'ailleurs c'est ce que tu as fait. Merci à toi, cette fois je n'ai fait que m'inspirer de ton sujet.